Ma Samaritaine 2014, des photos décevantes mais dans un lieu mythique...
Bettina à la galerie Azzedine Alaïa : c'est l’histoire romanesque d’une jeune fille grandie à Elbeuf. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, âgée de 18 ans, elle débarque à Paris. La belle, joyeuse et chaleureuse, se fait vite repérer et devient le célèbre mannequin de Fath, Givenchy ou Coco Chanel. Photographiée par les plus grands : Erwin Blumenfeld, Henri Cartier-Bresson, Irving Penn ou encore Robert Doisneau (formidable en photographe de mode), le modèle fait la une des magazines.
En cette année de commémoration et, en complément de l'expo Libération de Paris vue en septembre, je suis allée voir Paris libéré, Paris photographié, Paris exposé au Musée Carnavalet
Paris est à peine libéré que le musée Carnavalet organise, en novembre 1944, une gigantesque exposition réunissant les images de la Libération. Soixante-dix ans plus tard, le musée propose de porter un nouveau regard sur cet épisode, avec plus de documents encore, d'autres analyses et points de vue. Passionnant...
Dans un genre différent, j'ai beaucoup aimé StreetArt, l'innovation au coeur d'un mouvement à la Fondation EDF
Plusieurs séances de ciné aussi
Mauvaise pioche : ce film relate l'histoire d'un chien crève-la-faim qui prend la tête d'une révolte contre les humains à Budapest. Pas du tout pour moi. Trop d'abandons et de maltraitance animale en première partie, c'était dur à supporter...
Mais là, je dis chef d'oeuvre : les armes de la beauté du cinéma levées contre la barbarie
Portrait de l'artiste qui apparait comme un cochon grognon, un beau film mais quelques longueurs
Ca saigne sur les cymbales... La relation sado-maso entre un élève batteur ambitieux et son prof tyrannique dans la meilleure école de jazz de NYC. Superbe !
Dans le New York impitoyable des années 80, suspense autour d'un patron qui tente de s'enrichir légalement dans le milieu corrompu du pétrole. Un film magistral pour le dernier jour de l'année !
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