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mercredi 2 décembre 2015

Novembre, avant et après le 13...

Après avoir vu "Le fabuleux destin d'Elisabeth Vigée Lebrun, peintre..." sur Arte début octobre, j'ai eu très  envie de visiter la première rétrospective française qui lui est consacrée au Grand Palais
Une grande portraitiste, un témoin privilégié des évènements de l'histoire de France, de l'ancien régime à la restauration et une grande voyageuse qui a exercé son art dans de nombreuses cours européennes (Italie, Autriche, Russie, etc...)



Curieusement, comme elle, j'ai été baptisée à l'église Saint-Eustache. J'ai aussi terminé mes études primaires à l'école Vigée Lebrun (dans une rue du même nom du 15ème). Cette photo date de 1968 mais j'ai eu la même institutrice (dont j'ai oublié le nom) en CM2 (année scolaire 61-62)


Très beau concert au studio 105 de la Maison de la Radio : Airelle Besson et Nelson Veras en duo ont joué le répertoire de leur album "Prélude"


Deux séances de ciné sur invitations Télérama

Un documentaire chilien entre témoignage sur l'histoire violente du pays et rêverie philosophique


Une évocation du Louvre sous l'occupation et une méditation sur la place de l'art dans nos vies


Trop de philosophie et de méditation pour moi, où alors j'étais fatiguée ces jours là, toujours est-il que j'ai un peu somnolé devant ces deux films

Et ce dernier, c'était le 13 après midi, juste avant les attentats qui ont eu lieu dans la soirée, dont l'un en bas de ma rue...





Pendant les deux semaines qui ont suivi ces évènements, je n'ai plus eu envie de me distraire, pas peur de sortir non mais juste pas motivée, trop démoralisée

Puis, je suis finalement retournée au ciné à la fin du mois :
Mi polar, mi comédie, un film néerlandais vraiment très plaisant


Et au théâtre aussi :
Dans l'Italie des années 60 un père, ouvrier catholique attaché à la tradition, cherche à protéger sa fille étudiante alors qu'elle prend part aux luttes révolutionnaires et glisse lentement vers les Brigades rouges.
Le père et la fille, à la scène et à la ville, nous émeuvent et nous embarquent