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vendredi 30 mars 2012

J'aime Paris au mois de mars !

Vraiment, il n'y a plus que la Freebox pour être fâchée avec l'été ici... 
Les parisiens, carencés en vitamine D, ont pris d'assaut les parcs et les terrasses cette semaine...
Dimanche aux Buttes Chaumont, même un lapin était de sortie...




Jeudi, Place des Vosges, les canards aussi étaient contents...


Avant de squatter un banc sur la place, j'ai (re)visité la maison de Victor Hugo (la dernière fois, ça faisait un bail...) à l'occasion de l'expo "Hugo reçoit Dickens"

Photos de gauche : reconstitution de la chambre dans laquelle l'écrivain est décédé dans l'hôtel de l'avenue d'Eylau (actuellement avenue Victor Hugo), table aux 4 encriers (Victor Hugo, George Sand, Alexandre Dumas et Alphonse de Lamartine)

Pour la petite histoire, j'ai noté que le loyer annuel de cet appartement de 280 m2 au 2ème étage de l'Hôtel de Rohan-Guémené était de 1 500 francs (soit 125 francs par mois). Bon d'accord, le franc de 1832 ne nous évoque pas grand chose... Cependant, j'ai trouvé plus loin au cours de la visite que les romans de l'écrivain publiés par Louis Hachette en 1857 se vendaient au prix de 1,25 franc (des éditions plutôt simples, genre pocket). Sauf erreur de ma part, en prenant le livre à 20 euros en moyenne (bien supérieur au prix des pocket) , ça ferait un loyer de 2000 euros par mois aujourd'hui, hallucinant...
Sur le chemin du retour, j'ai testé la crêperie Breizh Café rue Vieille du Temple, dont j'avais entendu un récent éloge sur France Inter (On va déguster). Il faut être patient car la file d'attente est assez longue (même à 14h30...) et le service un peu lent, mais franchement ça vaut la peine car ma galette "complète andouille" était simplement divine !




Encore un peu de lecture au soleil aujourd'hui entre 2 courses, au square du Temple, où j'allais souvent avec G quand elle était bébé...




Avant tout cela, en fin de semaine dernière, je suis allée voir la très belle expo Doisneau, Paris les Hallles à l'Hôtel de Ville avec M, mon amie d'enfance. J'ai regardé attentivement ces photos du "Ventre de Paris" et notamment du pavillon de la marée mais je n'ai pas vu ma grand-mère qui y travaillait comme caissière... J'ai vécu mes premières années auprès de ces Halles et papa y a fait tous ces achats, aux premières heures du jour, pendant des années. Je  me souviens surtout du trou et de l'inauguration du forum dans les années 70...

mercredi 28 mars 2012

Chacun cherche son chat...

Je me demande pourquoi les chats sont attirés ici et pourquoi ils se sentent bien chez moi ?...
D'abord Toto, le chat d'un voisin de palier qui était absent la plupart du temps et comme ses fenêtres étaient ouvertes, en ce soir du 1er juin 2010, il est sorti sur la coursive et venu miauler à ma porte, je n'ai pas eu le coeur de lui refuser l'hospitalité et lui, était très content d'avoir trouvé une famille accueillante et 3 congénères qui l'ont même laissé dormir près de moi... J'ai posé des post-it sur la porte de mon voisin qui est venu le récupérer 2 ou 3 jours plus tard. Toto est revenu encore et encore jusqu'à ce qu'il déménage avec son maître peu après, je ne l'ai plus revu...


C'est à peu près à la même époque que j'ai rencontré Boubou 1er (sa propriétaire espère sans doute une longue lignée...), un magnifique chat genre Chartreux, devant l'ascenseur en bas de ma résidence. Sa plaque mentionnant également un numéro de portable, j'ai pu joindre sa maîtresse (qui demeure rue du Faubourg du Temple en rez de chaussée) et elle est rapidement venue récupérer le fugueur que j'avais gardé sur ma coursive en attendant...
Je l'ai revu l'été dernier dans le jardin de l'immeuble mais n'ai pas eu le temps d'intervenir qu'il était déjà reparti vers de nouvelles aventures...
Et voilà que la veille au soir de notre départ pour Naples, Boubou 1er a pris l'ascenseur avec L et est arrivé directement devant ma porte. La maîtresse étant sur répondeur, je n'ai pas pu faire autrement que d'héberger le minou en attendant des nouvelles suite à mon message. Il a goûté les croquettes, fait son petit pipi dans la caisse et s'est rapidement installé sur le canapé, à l'aise comme chez lui... Il a bien apprécié mes caresses en attendant l'arrivée de la soeur de sa maîtresse...
Le seul souci, c'est que j'ai dû enfermer Ulysse et Princesse côté chambre car l'ambiance n'était pas très cordiale... 



Lundi soir, je l'ai encore aperçu qui poursuivait un congénère sur le trottoir en face de chez moi, j'ai comme l'impression que je vais revoir Boubou 1er, s'il ne se fait pas kidnapper ou écraser entre-temps...
Mais franchement, je ne comprends pas ces gens qui adoptent des animaux et ne leur consacrent pas la présence et l'affection qu'ils méritent et, quelle idée de les laisser vagabonder dans les rues de Belleville !...

dimanche 25 mars 2012

Il faut remettre les pendules à l'heure !

Cette nuit, et pour la 37ème fois depuis le 28 mars 1976, nous passons à l'heure d'été et perdons donc une heure
J'ignorais que l'heure d'été avait également été instituée en 1917 puis abandonnée en 1945 (merci Wikipédia), mes parents ne m'en avaient jamais parlé, enfin je ne crois pas...
Pendant 36 ans, je me suis sentie frustrée de perdre une heure (sans compter le temps perdu à régler les horloges et montres) de mon week-end, alors que le temps m'était compté pour faire tout ce qu'il y a à faire quand on travaille toute la semaine... Et puis, les lundis matin, c'était carrément l'horreur quand le réveil sonnait une heure plus tôt que d'habitude...
Et bien, cette fois-ci, pour la première fois, cela ne me dérange pas le moins du monde, je suis même très contente car le soleil sera toujours levé avant moi, quoiqu'il arrive, et les journées seront plus longues...
De plus, le printemps était vraiment au rendez-vous avec le calendrier cette semaine, nous sommes passés du manteau au tee-shirt sans transition. La température est quasi estivale en cette fin mars à Paris, que du bonheur !
Samedi après-midi, avant mon cours de gym, j'ai retrouvé mon banc (délaissé depuis l'automne) au bord du canal Saint-Martinpour un moment de lecture, et c'était vraiment hyper cool...



Il se pourrait que je me fasse un pique-nique aux Buttes Chaumont ce dimanche puisque j'ai enfin le temps maintenant...

samedi 24 mars 2012

Capri et c'est fini...

Nous avons navigué malin jusqu'à l'île de Capri le vendredi.
En effet, il y a 2 types de bateaux pour aller de Naples à Capri : les ferries et les hydroglisseurs (plus rapides mais plus chers et n'offrant pas la possibilité d'être sur un pont extérieur). L, responsable de la logistique et grand amateur de promenades en mer, a donc opté pour le ferry de la compagnie Caremar,  et nous avons bien apprécié nos traversées aller-retour (chaudement emmitouflés quand même...)



Pour accéder à la commune de Capri à partir de la marina, on a le choix entre un funiculaire et un petit chemin. Nous avons pris le premier pour monter et le second pour descendre. Bon plan car nous avons ensuite beaucoup marché à la découverte d'un véritable petit paradis...

Faraglioni di Capri (photo de droite)
  Villa Malaparte (photo de droite)

Il faut déjà repartir, Capri, c'est fini mais j'espère bien que j'y retournerai un jour...

vendredi 23 mars 2012

Tranche napolitaine

Quelques images collectées pendant ces cinq jours, au fil de nos ballades et visites dans la ville...
 Certosa di San Martino : autour des deux cloîtres, l'ancien couvent abrite plusieurs petits musées dont l'un est dédié aux crèches des XVIII et XIXè siècles
Villa Pignatelli (photo de droite)

Le dernier matin, avant le départ, nos pas nous ont guidés vers une église non loin de notre hôtel où nous avons pu assister à un rassemblement de carabiniers qui se préparaient pour une cérémonie (?) à laquelle nous n'avons pu assister, faute de temps, dommage, la répétition était prometteuse...